Bonjour, je poste ce dernier article pour signaler que j'ai recréé ce blog à une autre adresse. La quasi-totalité des articles postés ici l' ont été aussi sur le nouveau, et donc j' abandonne celui-ci: il ne sera plus tenu à jour. Suivez moi sur Livejournal, LJ pour les intimes.
http://rocrom.livejournal.com/
Les posts de commentaires sur l'autre sont aussi open source, donc même sans avoir de profil il est possible de donner son avis.
Au revoir Blog spot, bonjour Livejournal!
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Final Fantasy V n'a pas pris une ride ! Forcement le jeu à vieilli, mais un Final reste un Final, demande à ceux qui continuent de jouer à Final Fantasy VII pour voir…
Au bout de 60h de jeu, je me retrouve dans un donjon qui m'a happé au vol, alors que j'explorais la carte du monde. Il n'y a pas de carte de donjon dans Final Fantasy. Au mieux on trouve des shémas, sinon on a la carte du monde. Mais rien de plus. Alors impossible de rater un objet autrement qu'en explorant la totalité des passages et des salles. Parfois c'est très risqué parce que certaines salles sont justement bourrées d'ennemis juste pour surprendre le joueur ! (C'est le cas dans FF2 par exemple) Mais dans ce jeu là, je me retrouve au niveau 58,59 avec mes quatre persos, cherchant un artefact pour continuer la quête : une tablette qui permet de briser un sceau pour obtenir les armes ultimes. Bon, en gros je cherche un objet qui ne me servira à rien, mais que je dois quand même chercher ! Avant donc, je galère avec des persos solides mais équipés d'armes franchement bof. Et je pèse mes mots ! Je passe par des chemins complexes et je me rends compte que je progresse moins vite parce que je dois vraiment m'accrocher pour continuer de progresser, parce qu'il n'y a que des boss sur mon chemin. Arrive un moment ou je me tape 3,4 boss d'affilée, puis je tombe sur Gilgamèche (tiens ça fait nom de pokémon comme ça !) Euh Gilgamesh.
!SPOILER ! Alors ce personnage, tout le long du jeu, c'est toujours un ennemi, or à ce combat, il me tape dessus, et après il se met à parler comme si il retrouvait un vieux pote « Mais c'est Bartz !! Désolé les gars ! Vous auriez pu prévenir ! ». A ce moment là, le combat s'arrête et il explique qu'il a été enfermé dans la faille temporelle et qu'il cherche la sortie.
Là, j'apprends que je suis dans la faille temporelle. Gilgamesh s'en va, je poursuis ma progression, et j'arrive à un point de sauvegarde bien défendu (logique) et après je retrouve le méchant du jeu, Exdeath. Il me ramasse la gueule en quelques secondes, très facilement. Vexé, je me dis « Bon, ok, je vais faire du leveling et revenir le voir dans une dizaine de niveaux ! » Je reste donc dans la même zone, enchainant des combats difficiles mais augmentant rapidement les niveaux de mes jobs (le système spécifique à FF5). Et puis je commence seulement à douter. « Non, ça ne serait pas le boss de fin quand même ? » Ce que je finis par ne plus penser, parce que je n'ai pas encore tout fait dans le jeu. Il reste en comptant celui-ci, 3 ou 5 donjons si je compte les quêtes annexes. Donc j'en suis encore loin.
10h de jeu plus tard, je suis toujours dans la faille temporelle, je n'ai fait que leveler mes persos, j'ai montés tout mes jobs au niveau max, j'ai découvert que mes persos sont beaucoup plus puissants quand je ne leur attribue plus de jobs, et donc j'ai basculé tout le monde en freelance pour équiper les meilleures armes en étant sur de faire un maximum de dégâts ! Je retourne voir Exdeath, et là il n'a pas tenu 10 minutes contre moi ! Au bout de 3,4 minutes, il apparait sous une nouvelle forme, occupant presque tout l'écran de la Game boy Advance SP… Je me dis, wow il est super beau ! Et moins de 5 minutes plus tard, je l'ai battu, et j'ai droit à un long épilogue pendant lequel je me dis « Elle est longue cette séquence, j'ai envie de jouer moi ! » Sans vraiment comprendre que j'ai terminé le jeu.
Alors ça, je ne m'y attendais presque pas ! Donc je renseigne ceux qui voudront jouer à Final Fantasy V, il est très bon, long, mais à un moment donné, on peut zapper les 3 dernières quêtes pour les armes ultimes dans le château de Kazu. La boule noire qui m'avait happé était donc le néant crée par le big boss du jeu. Heureusement, je n'ai pas lâché le jeu pour autant, j'ai fait ces quêtes, trouvés plein d'invocations que je n'avais pas et dépensé tout l'argent que j'ai gagné en faisant mon leveling pour acheter des objets précieux dans des lieux cachés ! J'ai récupéré toutes les armes légendaires, mettant tout de même certaines de côté volontairement (qui veut se pointer devant le boss de fin avec une harpe ou une flute ?) et j'ai commencé à découvrir les ajouts spéciaux à la version GBA… Qui valent le détour ! Cela est toujours un plaisir de se rendre compte que le jeu réserve encore des surprises après avoir battu le boss de fin ! (De nos jours, cela est presque devenu courant dans les jeux, mais pour les vieux joueurs, c'était rarissime voir inexistant. En encore plus dans un Final !)
Conclusion, c'est la première fois que je termine un Final en me disant que j'en étais encore loin. Pourtant, cela n'a pas gâché le plaisir de la fin, et le thème de fin de Final Fantasy V rempli le cœur d'émotion autant que les autres volets…
J'ai à ce jour 75h de jeu sur FF5 et je n'ai pas encore terminé le donjon inédit, dont la faille temporelle dont j'ai parlé avant n'était qu'une mise en bouche…
Musique écoutée pendant la rédaction : Die Toten Hosen, Love Peace and Money
Rédigé le mardi 20 mai 2008, ©rom2008
- Histoire
La paix dans le monde est aujourd'hui menacée. Espérant réaliser son rêve et asservir la planète, l'empereur de Palmécia a réveillé des monstres trop longtemps oubliés.
une armée de rebelles s'est dressée dans le royaume de Fynn, mais leur château a fini par tomber sous les assauts de l'empire. Les rebelles ont dû se réfugier dans la petite ville d'Altair.
quatre jeunes de Fynn ont eux aussi été contraints de s'enfuir. L'Empire venait de tout leur prendre jusqu'à leurs propres parents. Pourtant, les fugitifs étaient loin d'avoir échappé au danger.
(source: manuel du jeu GBA, Prologue de Final Fantasy II)
- Personnages
Pour ce deuxième jeu montrant la réussite de leur jeu de la "dernière chance", les créateurs ont conservé fièrement le nom. ce jeu, appelé Final Fantasy II n'est pas une suite, et aucun des Final Fantasy (excepté quelques rares exceptions) n'ont de suite.
Les innovations sont au rendez-vous, puisque pour commencer, une histoire de guerre est narrée dans le prologue, et les quatre personnages ont des noms qui cependant peuvent être changés au début du jeu. ces quatre personnages ont un lien entre eux, ils ont des caractères bien trempé (Bravoure de Firion, allégresse et bonté de Maria, force brutale combinée a un cœur d'or de Guy, et colère et corruption de Léon, mais j'en dis trop là...). L'identification a ces personnages est immédiate, on partage leur joie, leur peines (nombreuses dans ce FF très tragique), on a envie de les aider à accomplir leur vengeance.
- Spoiler: Big Boss du jeu
L'Empereur qui envahi le royaume de Fynn ne cessera de placer ses pièces sur l'échiquier et de les faire frapper, une à une. On le croise trois fois dans le jeu, à des moments déterminants. Vaincu une fois par nos Héros, il reprendra de la puissance en enfer, et, scellant un pacte avec le diable, reviendra prendre sa place à la tête de l'Empire pour terminer sa sanglante conquête. Ce personnage ennemi est tout à fait détestable, puissant et vicieux, mais très gracieux et intelligent. son nom est méconnu, dans le jeu, tout le monde l'appelle l'empereur, mais son vrai nom en anglais est "Dark Cloud" je crois. D'ailleurs, maintenant que j'y pense, ce nom n'a pas été choisi par hasard, si je me souviens bien d'un de ses projets... La conquête du ciel fait partie de sa stratégie, et pour le reste... vous le saurez si vous jouez au jeu.
Comme Garland dans FF1, il possède une superbe armure dans le duel final. il n'est pas forcément difficile a battre, juste long car aucun sort ou arme (à l'exception d'un seul) n'a vraiment d'effet sur lui.
- Système de combat
Le système de combat n'a pas beaucoup évolué par rapport à FF1. Cependant, les niveaux ne sont plus présent! Maintenant, votre façon de jouer influe sur la progression de vos personnages. Je m'explique: Plus vous utiliserez vos armes, plus l'efficacité de cette arme et sa maîtrise par le perso progressera, idem pour la magie, qui par contre a des niveau, elle. On s'y retrouve avec la magie donc. Toutes les magies commencent au niveau 1 et je ne connais pas la limite maximale. Mon meilleur sort était "soin" au niveau 13. A partir du niveau 10, ça deviens vraiment long d'augmenter les niveaux.
Ce qui permet donc d'orienter ses personnages vers un domaine souhaité, très clairement si vous voulez avoir un perso habile a l'arc et avec la magie de soin, vous le pouvez. Si vous voulez un Perso efficace en tout, c'est possible mais y'a du boulot! C'est ce que je cherchais à faire d'ailleurs.
Les classes ont disparues, ainsi que les autres espèces. Dans ce monde, il n'y a que des humains. Vils humains côtoient les bons d'ailleurs.
attention cependant, encore plus que dans FF1, les rencontres inégales sont légion! Je suis tombé au bout de 2 combats sur des ennemis au niveau très différent! Et comme on ne peut pas savoir le niveau de n'ennemi (Cela est indiqué par un indice dans leur nom), au début on découvre, on s'habitue à ce monde plus réaliste que le premier.
Hey les gars! j'encaisse encore mieux!
Vos persos peuvent être gaucher ou droitier, ce qui fait que si on leur donne un bouclier dans la bonne main et une épée dans la mauvaise, ils auront du mal à progresser! Malin! Le nombre max de HP est 9999 et le max de MP est 999, mais faut s'accrocher pour les atteindre! Sachant qu'on gagner des HP en statistique en en perdant en combat, idem pour les MP, ça laisse de quoi s'amuser. Vos magies gagnent des niveaux au fur et à mesure qu'on les utilise, et deviennent plus belles et plus puissantes bien entendu.
- Thèmes abordés
Les thèmes principaux sont la guerre et la vengeance. Ils sont très présent et font de ce Final Fantasy II, un jeu très tragique.
SPOILER: On rencontre de nombreux personnages au fil de l'histoire qui se sacrifient pour la réussite de la quête. Ces personnages héroiques ont d'ailleurs droit à une histoire à part entière dans le chapitre à débloquer en finissant le jeu sur PSX et GBA. ça m'a beaucoup énervé de me faire chi** à monter en niveau un perso que j'ai perdu par la suite!!! Heureusement, dans FF2 Renaissance... :-)
Mais plus encore que la guerre et la vengeance, ce sont des thèmes magnifique et pur comme l'amitié, la sacrifice de soi, la confiance qui ressortent de ce jeu.
MINI-SPOILER (désolé, celui-ci est important dans ce thème): Lorsque Firion et ses compagnons se rendent compte qu'ils sont forcé d'affronter un ancien ami que je vous laisserai découvrir en jouant, la princesse Hilda du Royaume de Fynn leur demande s'il n'y pas d'autre choix, s'ils sont sûr de ce qu'il vont faire... ce à quoi Firion répondra en fermant les yeux très fort "Si nous n'avons pas le choix, nous le battrons!" On sens à ce moment le dilemme: que faut t'il faire? Affronter et tuer un ami pour rétablir la paix et arrêter la folie destructrice de l'Empire? Ou ne pas affronter et abandonner la planète à un chaos assuré ? N'y a t'il pas une autre solution? La confrontation concernée aura un rebondissement étonnant influant sur la formation de l'équipe et le dénouement de la fin. J'ajoute que le dénouement du jeu montrera comme qu'il y en avait besoin le comportement crédible des protagonistes du jeu.
- C'est votre dernier mot?
Ce jeu poursuit bien la série. De nouveaux thèmes sont abordés, de nouveaux personnages, aptitudes et un nouveau système intelligemment construit en font un des FF le plus apprécié par les fans parmi les plus anciens volets. Les dessins de Yoshitaka Amano sont splendides, et dire qu'il n'était pas à l'apogée de son art...
Réédité récemment sur PSX et GBA avec le pack FF1&2 et ses bonus, Il est vraiment un jeu à faire après le 1er, pour qui a aimé ce précèdent.
Un hit, comme le bon vin: meilleur avec l'âge.
Temps total de jeu: 51h06 (+14h35 en ajoutant le second scénario à débloquer à la fin.)
Musique écoutée pendant la rédaction de l'article: album Sonata Arctica - Ecliptica
16-11-2006
- Histoire
Le monde est plongé dans les ténèbres.
Le vent s'essouffle... la mer s'épuise... la terre se meurt...
Pourtant, les hommes sont convaincus qu'une prophétie est sur le point de s'accomplir.
Une légende raconte que "devant les ténèbres, quatre jeunes guerriers de Lumière se dresseront."
Après un long périple, quatre jeunes aventuriers viennent justement d'arriver... tenant chacun un cristal dans la main.
(source: manuel du jeu GBA, Prologue de Final Fantasy)
- Personnages
Pour ce premier volet, les créateurs du jeu n'ont pas donné de nom précis à leurs personnages: on vous demande même de leur donner vous-même un nom!
j'ai apprécié, mais faut pas leur donner des nom a la con sous peine de se taper tout le jeu avec!
On vous demande ensuite de leur déterminer une classe, cela sera appelé un "job" dans les volets suivants et prendra peu à peu de l'importance.
Ces jobs seront déterminants pour l'aventure, car ils auront droit à une "promotion" dans une classe supérieure en cours de partie. Il faudra choisir entre Guerrier, Voleur, Mage Blanc (pour soigner tout le monde), Mage noir (pour la magie de combat), Mage rouge (pour mêler un peu les deux), et Moine (pratique d'arts martiaux).
- Spoiler: Big Boss du jeu
A ne pas lire si vous comptez faire ce jeu!
Le boss de fin est un puissant guerrier appelé Garland, qui est à la fois le premier et le dernier boss! En effet, avec le temps, ses pouvoirs se sont dissipés, mais à l'époque ils étaient absolument phénoménaux. Voila pourquoi quand on le retrouve a la fin du jeu (j'ai été étonné, je lui avais déjà mis sa branlée!) il explique qu'il était beaucoup plus puissant... 5000 ans auparavant! Son nom d'entité maléfique est "Chaos". Il possède son ancienne armure d'or, il est magnifique!
il n'est pas dur à battre, seulement long...
- Système de combat
Le système de combat de Final Fantasy premier du nom est basique mais révolutionnaire pour une raison simple: les créateurs de SQUAREsoft étaient au bord de la faillite quand ils l'ont développé! J'y reviendrai dans les thèmes abordés.
Vos personnages sont coté droit de l'écran, comme dans tout les autres. Vous avez en bas à droite vos noms de persos et leur PV (point de vie, HP pour "Health Point" en anglais) ainsi que leur point de magie (MP). Sur la partie gauche se trouve le nom des créatures que l'on combat ainsi que leur nombre. Par dessus cela, se trouve la commande d'action. Cette commande idéale sera peu modifiée dans tout les autres opus attendu qu'elle est sagement élaborée: Attaque, Magie, Objets, une autre commande, équiper (pour changer d'arme en plein combat) et Fuite si l'adversaire est trop fort (dans les vieux jeux, on pouvait tomber sur un kéké avec 10 HP, donc facile a battre, comme on pouvait tomber sur un qui en avait 500! Et sans crier garde!) Et oui a l'époque les jeux étaient bien plus difficile, et on progressait par l'échec. Rappelez vous du 1er Prince of Persia... il était dur, hein? ;-)
T'inquiète, j'encaisse!
La progression du jeu se fait par niveaux: plus on combat, plus on gagne de points d'expérience, et au bout d'un certain nombre d' EXP Points, on gagne un niveau, et toutes les compétences augmentes un peu. On commence niveau 1 et le maximum est le niveau 99, le maximum de points de vie est 999 (c'est peu je sais) idem pour les points de magie.
Invocations:
Sakaguchi et son équipe n'ont inventé cela qu'à partir du 4e opus je crois. Donc dans ce jeu ils n'y en a pas.
- Thèmes abordés
Ce jeu a été fait dans l'urgence: La compagnie Square, future SQUARESOFT et SQUARE ENIX par la suite, créait des jeux sur NES, la vieille console Nintendo. Leurs affaires se passant mal, la société composée de seulement 5 personnes à l'époque (tout est parti du chef, Hironobu Sakaguchi, qui a refusé de baisser les bras, béni soit la femme qui lui a donné la vie!)! Sur le point de déposer le bilan, ils lancent le projet d'un dernier jeu, histoire de finir en beauté. Ce jeu porterait le nom symbolique de la dernière chance "Final Fantasy" en anglais. Le sort de la société reposait à l'époque uniquement sur ce jeu! Ils ont décidé de s'orienter sur un jeu de rôle, thème qu'ils n'avaient même jamais vraiment pratiqué il me semble. ils avaient fait un peu de tout les genres, course, action, mais RPG... à l'époque c'était "ENIX" le grand maître ne la matière, et c'est pourquoi ils s'en sont inspirés pour créer leur jeu. a retenir, le nom du concurrent ENIX, parce que ce nom sera déterminant à l'avenir, j'y reviendrai plus tard!
Le(s) thème(s) du jeu:
On aborde un sujet que j'aime bien, parce qu'il me permet de montrer en quoi ces jeux se rapprochent beaucoup d'une saga mythique et épique, tel le Seigneur des Anneaux pour ceux qui l'ont lu. C'est-à-dire comment un FF se rapproche d'un livre.
Le contexte de la création du jeu semble se retrouver dans le petit scénario basique de celui-ci: Un monde en danger, des ténèbres sur le point de s'étendre... un monde dont le nom n'est pas précisé. Une princesse à sauver, et un nombre de joueurs se rapprochant du nombre de membres de l'équipe de développement.
Le scénario est simple et complet à la fois: 4 jeunes héros doivent rétablir l'ordre dans le monde en libérant des cristaux symbolisant les 4 éléments (EAU, TERRE, FEU, AIR) dérobés par des entités maléfique en rapport avec le 1er boss... J'ajoute que de vieilles connaissances et un nouveau donjon ont été ajoutés dans la dernière version, sortie sur GBA. Ainsi le sauvetage de la princesse et un élément nous mettant sur la voie. Les personnages n'ayant pas d'identité définie à l'avance par les créateurs n'ont donc pas d'histoire intervenant au cours du jeu: nos quatre persos sont comme les 4 doigts de la main!
Notons aussi que la race humaine n'est pas seule sur ce monde, il y a aussi une communauté Elfique, et des Nains! (un nain? mais quelle horreur! cf donjon de naheulbeuk, episode1!) ces autres espèces ont d'ailleurs leurs propres spécialités qui peuvent nous être utiles en cours de partie, la magie pour les elfes, les Armes en Mithril pour les nains. Mention spéciale pour la traduction! La version française est une petite merveille! C’est un délice de jouer au jeu dans la langue de Molière avec plein de figures de style savoureuse ("Si seulement j'avais de l'adamantite, je pourrais forger une épée tout bonnement épatante!" dit un nain forgeron dans sa galerie si vous allez le voir)
- C'est votre dernier mot?
Ce jeu est prenant, et permet de mieux comprendre la quasi-perfection des chapitres suivants. Un moment d'histoire à partager pour tout fan ou curieux de Final Fantasy.
De plus, la récente version française sur GBA compilant FF1&2 est très accessible et les graphismes ont été remis au goût du jour, un petit bijou.
Si tu veux commencer un Final Fantasy pour savoir ce que c'est, joue a celui-ci, ami!
Temps total de jeu: 28h59
Musique écoutée pendant la rédaction de l'article: album Rhapsody - Symphony Of Enchanted Lands II
rédigé le 16-11-2006
RPG: Role Playing Game= équivalent français "jeu de rôle" et non "Jeu drôle", pigé, Anto? ^^
Jamais je n'ai eu autant l'impression de lire un livre qu'en jouant à un final fantasy.
Ce dossier est ma version, ma vision des choses décrites. Je respecte absolument les autres points de vue, et je vous prie de ne pas prendre pour point de vue jugé et arrêté le texte ci-dessous. Si vous avez des observations à me communiquer, j'y serai réceptif. Je vous annonce simplement que je n'écris d'article que sur les jeux que j'ai joué du début à la fin (pour boucler le plus court, c'est à dire le premier, il m'a fallut 27h37), et que par conséquent je sais de quoi je parle.
Au fait, désolé pour les fautes qui auraient hypothétiquement échappé a mon contrôle d'orthographe.
NDR: J'ai commencé à rédiger ce dossier en 2006, et je n'ai pas finis tout les FF jusqu'alors. Je publierai mon topo sur chaque volet petit à petit alors patience et bonne lecture! Si je te donne envie d'y jouer ça voudra dire que j'ai bien fait mon boulot. See ya!
Final Fantasy: OK
Final Fantasy II: OK
Final Fantasy III: Work in progress...
Final Fantasy IV: Work in progress...
Final Fantasy V: OK
Final Fantasy VI: Work in progress...
Final Fantasy VII: OK
Final Fantasy VIII: OK
Final Fantasy IX: Work in progress...
Final Fantasy X: work in progress...
Final Fantasy XI: HA HA!!
Final Fantasy XII: Work in progress...
Les autres volets sont des spin-off, en gros des dérivés représentant chacun une saga propre, ils seront traités à part.
Test du jeu par Rom :
Avant tout, il faut savoir que je suis une brelle au Golf, j’ai commencé le jeu sans en comprendre les règles. Mon premier contact avec ce sport de riches était Wii Sports ! C’est d’ailleurs après y avoir joué que je me suis intéressé à Mario Golf. Actuellement, j’en suis à 16h de jeu et je ne l’ai pas encore terminé. Voici mon test sur ce jeu.
Premières minutes de jeu :
Passé la petite séquence d’intro qui présente tout les personnages ainsi que ceux à débloquer en cours de partie, qui sont soigneusement masqués, on se retrouve sur l’écran de démarrage. Déjà, j’ai reconnu le logo de Camelot (à l’origine des merveilleux RPG Golden Sun Tome 1 & 2 sur GBA), et on commence à créer son personnage. Comment ça créer son personnage ? Je peux pas jouer avec Mario tout de suite ?? Mais euh !! Bon allé je crée mon perso. Rien que là, le jeu commence à me plaire : on peut être un garçon, une fille, gaucher, droitier et changer le nom du perso. La patte Camelot se reconnaît tout de suite ! Puis la partie commence ! On se retrouve vraiment dans un RPG ! Il y a une petite séquence narrative qui explique qu’on joue un bleu qui arrive dans un club de Golf avec l’intention d’en devenir un Pro ! D’ailleurs, après recherche, je me suis rendu compte que le maître des quatre personnages qu’on voit au début du jeu est un Golfeur chevronné, et c’est le personnage avec lequel on jouait dans le premier Mario Golf sur Game Boy Color ! J’y reviendrai plus tard.
Bon comment ça marche ?
Ce qui est bien avec Nintendo, c’est que dans leurs jeux, ils expliquent toutes les commandes, les règles, la totale ! Voilà qui tombe bien parce que à part quelques parties sur Wii chez des amis veinards qui ont réussi à en acheter une (elle sera en rupture de stock jusqu’en juin 2007 je crois), et bien je n’y connais rien. Pour résumer, il faut envoyer la balle dans le trou avec un minimum de coups. Bon je ne vais pas expliquer les règles, il suffit de jouer au jeu. Il est très bien documenté, et il y a un glossaire répertoriant tout les termes technique du Golf (Heureusement qu’il est là, parce que y’en a qui sont vraiment pas commun. Dormie ou Albatros par exemple). On est bien guidé au départ, et après ça va tout seul !
Un RPG sur le Golf ?
Absolument ! Ceux qui ont joué aux RPG Camelot (Golden Sun Tome 1 & 2 que j’ai adorés) seront comblés : ils ont repris la même interface, les mêmes smileys au dessus des têtes des persos, la map de jeu avec le clubhouse de Golf, le chalet ou on collectionne les trophées gagnés et où on se repose… On retrouve
même les gains d’expérience à la fin des défis et tournois et les systèmes de niveaux ! On commence niveau 1. Et au fil des niveaux, on augmente ses statistiques avec toutefois une petite différence. Quand on augmente une capacité (coup par exemple) ça va faire diminuer une autre capacité (effet par exemple). La finesse sera d’augmenter ses compétences tout en les gardant optimales. La compétence DRIVE ne diminuera jamais. Au départ elle est courte, et au fil des niveaux il faut l’augmenter pour lancer la balle plus loin. Et en plus de distribuer l’expérience à votre personnage, il faut aussi s’occuper du personnage secondaire (la fille si vous choisissez le garçon et inversement) car il y a des tournois à jouer en double. A ce moment là, vous ne jouez qu’avec votre perso, le perso secondaire joue tout seul. Et bien entendu, si il a moins d’expérience que votre perso, il risque de mal jouer. Il faut donc bien s’en occuper.
Mais alors on joue pas avec Mario ?
Mario est la superstar du jeu, on comprend en cours de partie qu’il fait office de Boss de fin. Il joue dans son propre club (le club champignon) et avant de le voir et de l’affronter, il faut bien sur se taper tout les autres tournois ! Dans ces tournois, il y a des champions à battre, en tournoi puis en partie 1 VS 1 ET 2 VS 2. Les champions sont des persos qu’on peut retrouver dans l’ancien Mario Golf su
r GBC, un peu plus jeune. A eux viennent s’ajouter d’autres stars de l’univers Nintendo et des jeux Mario : Peach, Yoshi, Donkey Kong, Wario, Waluigi, Luigi et Bowser. Pour les quatre derniers cités, il faut les débloquer en linkant la GBA à Mario Golf sur Gamecube. Ils sont malin chez Nintendo (mais bonjour la facture s’il fallait acheter tout leurs jeux) ! Une fois débloqués, on peut jouer avec eux en mode « Jeu », à différencier au mode « Aventure ». Alors content ??? Mario est accessible dès le début mais pas en mode aventure.
Moi, j’aime pas l’aventure. (Schtroumpf grognon)
Et bien pas de soucis, du temps que tu as crée ton perso, tu peut te lancer direct dans les compets en les choisissant dans les menus. Mais tu passera à côté d’une partie du charme de ce 
jeu. Car en dehors des compets des clubs, sur la carte du monde, tu peux te lancer dans des défis qui te permettront de gagner de nouveaux clubs de Golf (la canne avec laquelle on joue ok ?) des niveaux cachés en dehors des tournois, et pleins de variantes. Niveau durée de vie, il y a de quoi faire avec ce jeu là ! (Personnellement je trouve que tout les jeux Nintendo ont une durée de vie dingue, surtout si comme moi vous cherchez à réussir tout, à finir le jeu à fond !)
J’ajoute que plus on progresse dans le mode Aventure, plus on débloque de niveaux pour le mode « Jeu ». On peut jouer en Link bien sur, et ce sur une seule machine et une seule cartouche !
Joli ton jeu !
Oui, Camelot, je les aime bien même si ça ressemble beaucoup aux graphismes de Golden Sun, arriver à jouer sur des images proche d’une
3D sur Game Boy Advance, c’est génial.
La GBA ne permet pas de générer la 3D, mais il y a une alternative appelée le « Mode 7 », comme sur Super Nintendo, c’est l’ancêtre de la 3D. Le meilleur emploi qui en a été fait sur GBA est le jeu Mario Kart : Super Circuit (encore un hit !)
Jouable ton jeu !
Une fois habitué aux graphismes super-méga-cool-de-la-mort-qui-tue, le jeu est super cool à prendre en main. Comme d’hab, « Big N » mise sur la jouabilité (Gameplay) et y’a pas à dire, c’est super jouable. Un plaisir pour les doigts. Je n’ai pas encore joué à Mario Golf : Toadstool Tour sur Gamecube, mais je me le ferai prêter pour pouvoir compléter mon test. Apparemment les commandes principales sont les mêmes. Et vu la qualité du Gameplay sur GBA, tant mieux ! J Les musiques aussi sont dans le style de Golden Sun et s’intègrent très bien au contexte du sport.
Une fois sur le GREEN, faut pas se louper !
Les flèches indiquent la direction de la pente. Comme dans les anciens volets. Quand Mario Golf sortira sur DS, tout sera en 3D !
Quand on se rapproche beaucoup du trou, un zoom détaillé apparaît.
VERDICT !
Long, prenant, varié, jouable, beau, documenté… J’ai plus de 15h de jeu et j’ai pas tout découvert. Je ne sais pas quel est la limite maximum de niveau, mais j’ai l’intention l’aller loin… Faites ce jeu, il est super. Et quand je pense que Camelot s’est occupé de l’opus GBA de Mario Tennis, appelé Mario Power Tennis, j’ai hâte de l’essayer !! Foncez !
Mario Golf : Advance Tour est un jeu Nintendo, développé par Camelot pour Game Boy Advance, 2004.
Les images sont la propriété de Nintendo LTD. (captures d’écran issues de jeuxvideos.com et Rom)
Dossier tapé par ROM 14/02/07
Astuces Rom :
Pour réussir à faire le meilleur score dans un tournoi, il faut jouer un trous avec un minimum de coups. Pour réessayer son coup autant de fois qu’on le veux jusqu’à l’entrer en PAR (nombre de coup normal pour entrer une balle dans un trou) ou en BIRDIE (un coup de moins que la normale) voilà comment faire.
Si on veut recommencer depuis le début (on a merdé, mal joué) faire START et choisir SAUVEGARDER/QUITTER, choisir de sauvegarder les données, et recharger la partie. Vous recommencez à jouer le trou à partir du point de départ ! Attention, le vent change de direction, mais en utilisant la même manip, on peut essayer à chaque fois un vent de direction différente !
Article destiné aux rôlistes, non-rôlistes, passez votre chemin.
Tout est dans le titre. En tant que grand fan des jeux Square Enix (anciennement Squaresoft), je pense avoir trouvé ce qui deviendra une source incontournable de documents, infos, secrets sur les Final Fantasy (pour ne citer que cette série). Parce que j'en ai marre des petits merdeux de 12 ans qui tapent n'importe quoi sur les forums de jeuxvideos.com quand je cherche une info précise, propre, et SURTOUT sans Spoiler (infos et éléments que l'on découvre par soi-même et qui gâche le plaisir de la découverte si on l'apprend avant, pour ceux qui ne savent pas)
L'encyclopédie est encore expérimentale, mais elle existe bel et bien. Il y a beaucoup de catégories, mais pas encore assez d'articles. Je pense que ça viendra d'ici quelques mois!
J'espère ne pas avoir trop parlé comme un "geek". See Ya!
